Les secrets des vagues
Notre santé
Le corps humain possède un système cohérent qui canalise avec souplesse les flux d'ondes naturelles de notre environnement immédiat. Les objets et vêtements du quotidien affectent cette cohérence ondulatoire au sein de notre système biologique, entraînant des conséquences métaboliques et mutationnelles.
Il n'existe que deux types d'influences des vagues : constructives ou destructives.
Les illustrations ci-dessous montrent comment cela fonctionne en pratique.
Oscillation d'onde constructive

L'illustration ci-dessous présente les mécanismes ondulatoires simples des deux premières catégories d'ondes constructives (catégories 1 et 2) d'objets du quotidien. Ces ondes interagissent favorablement entre elles sous forme d'ondes constructives. Ceci a un effet bénéfique sur notre santé et notre longévité et peut contribuer significativement à la prévention des maladies chroniques.
L'illustration ci-dessous présente les mécanismes ondulatoires simples des troisième et quatrième catégories d'ondes destructives (catégories 3 et 4) des objets du quotidien. Ces ondes interagissent comme des contre-ondes destructives qui perturbent les ondes naturelles de santé. Ceci affaiblit et détruit le système immunitaire, accélère le vieillissement et impose diverses vibrations destructrices à nos structures cellulaires, pouvant entraîner l'apparition de certaines maladies chroniques.
Interférence d'ondes destructives

Les ondes environnementales constructives sont régénératrices et rajeunissantes. Le schéma ci-dessous illustre comment les mécanismes de notre corps interagissent avec les ondes de guérison des objets environnants et déclenchent une résonance cellulaire. Les ondes corporelles ont le potentiel d'amplifier les vibrations de façon exponentielle lorsque la somme des ondes du champ bioénergétique et des ondes environnementales constructives est supérieure à 2 (1 + 1). Lorsque le potentiel de somme des ondes atteint 4, 10, 50 ou un niveau beaucoup plus élevé (comme indiqué en pointillés ci-dessous), supérieur au champ bioénergétique corporel normal, il en résulte une amélioration de la santé et une longévité accrue.

Catégorie 1 : QIW de guérison
Interférence constructive
Ondes constructives aux effets bénéfiques. Les ondes biocompatibles d'articles adaptés (vêtements, meubles, literie, bijoux, lunettes, matériaux dentaires, etc.) s'harmonisent avec le standard environnemental de la Fréquence Santé® et favorisent l'équilibre, la santé et la longévité. Ces ondes contribuent à amplifier les bienfaits naturels des facteurs génétiques. Les ondes constructives (IQA) se produisent lorsque les ondes corporelles et environnementales se superposent pour former une amplitude résultante plus importante. Si la crête d'une onde rencontre le creux d'une autre, de même amplitude, de même fréquence et au même point, l'amplitude du déplacement est égale à la somme des amplitudes individuelles : c'est une interférence constructive.
Catégorie 2 : QIW favorable
Interférence constructive

Catégorie 3 : QIW moyen
Interférence destructive

Ondes destructives dans notre environnement quotidien qui abaissent les ondes naturelles de notre corps Le schéma ci-dessous illustre l'interaction entre les mécanismes de notre corps et les ondes destructives de notre environnement. Les ondes corporelles et environnementales se superposent, entraînant une diminution de leur amplitude résultante. Lorsque l'onde corporelle naturelle est de 1,0 et que la somme des ondes environnementales est inférieure à 0, les ondes corporelles sont abaissées en dessous de leur valeur naturelle de 1,0. 0,x représente l'interaction résultante de cet environnement abaissant. L'équation 1,0 + –0,x = 0,x abaisse systématiquement les ondes du champ bioénergétique et est donc néfaste pour la santé et la longévité.
Catégorie 4 : QIW létal :
Interférence destructive

L'illustration ci-dessous présente les mécanismes ondulatoires simples des troisième et quatrième catégories d'ondes destructives (catégories 3 et 4) des objets du quotidien. Ces ondes interagissent comme des contre-ondes destructives qui perturbent les ondes naturelles de santé. Ceci affaiblit et détruit le système immunitaire, accélère le vieillissement et impose diverses vibrations destructrices à nos structures cellulaires, pouvant entraîner l'apparition de certaines maladies chroniques.
Fréquence de santé (Ħ)
et ses interactions biologiques
Les organismes vivants sont des systèmes complexes qui interagissent avec leur environnement par divers processus physiques et chimiques. Parmi ces interactions, le rôle des ondes – électromagnétiques, acoustiques et quantiques – suscite un intérêt croissant. Les fréquences de santé (Ħ) sont des modèles mathématiques qui décrivent comment les ondes interagissent avec les systèmes biologiques, influençant les réponses cellulaires et systémiques. Ces ondes peuvent être classées selon leurs effets : curatives (bénéfiques), favorables (neutres ou légèrement positives), destructrices (nocives) et létales (très nocives).
La Fréquence de Santé (Ħ) représente un cadre mathématique novateur pour comprendre les mécanismes d'interaction entre les ondes environnementales et les systèmes biologiques, offrant ainsi la possibilité d'agir sur notre santé. Cette thèse explore les fondements théoriques des interactions ondulatoires en tant que modèle mathématique pour la validation expérimentale de Ħ. Elle les catégorise en cinq groupes : curatives, bénéfiques, destructives et létales, selon leurs effets sur les organismes vivants. En intégrant la mécanique quantique, la théorie électromagnétique et la biologie cellulaire, ce travail propose un modèle complet de l'influence des ondes sur les systèmes biologiques et un cadre expérimental robuste pour sa validation. Les résultats obtenus ont des implications importantes pour la médecine, la conception des matériaux et la santé environnementale.
Premièrement, nous devons définir formellement en termes mathématiques l'essence des ondes de fréquence de santé :
Ħ(x,t) = A(x,t)·e^(iφ(x,t))
Ou Ħ = A·e^(iφ)
L'équation de la cohérence biologique
(L'amplitude et la phase des structures corporelles définissent la stabilité du rythme intérieur de la vie)
Où
A(x,t) est la fonction d'amplitude à la position x et au temps t ; elle nous renseigne sur l'intensité de l'onde.
φ(x,t) est la fonction de phase - elle nous renseigne sur son timing ou son alignement.
i est l'unité
Catégorie 1 (Vague de guérison) :
Ħ₁(x,t) = B(x,t) + E(x,t) + k₁·B(x,t)·E(x,t) + R₁(x,t)·cos(θB - θE)
Ou Ħ₁ = B+ E + k₁·B·E + R₁·cos(θB - θE)
Où:
B(x,t) est la fonction d'onde naturelle du corps
E(x,t) est la fonction d'onde environnementale
k₁ est la constante de couplage de résonance positive (>1) qui amplifie l'effet.
R₁ est la fonction d'amplification résonante
θB et θE sont les angles de phase des ondes de volume et des ondes environnementales.
Le terme cosinus crée une amplification maximale lorsque les ondes sont en phase.

Catégorie 2 (Vague favorable) :
Ħ₂(x,t) = B(x,t) + E(x,t) + k₂·min(B(x,t),E(x,t)) + R₂(x,t)·|cos(θB - θE)|
Ou Ħ₂ = B + E + k₂·min(B,E) + R₂·|cos(θB - θE)|
Où:
k₂ est une constante de couplage positive modérée (0 < k₂ < 1)
R₂ est une fonction de résonance plus petite que R₁
|cos(θB - θE)| La valeur absolue garantit que seules des interférences constructives se produisent.

Catégorie 3
(Onde destructive) :
Ħ₃(x,t) = B(x,t) - |α·E(x,t)| + k₃·B(x,t)·E(x,t) + D₁(x,t)·cos(θB - θE + π)
Ou Ħ₃ = B - |α·E| + k₃·B·E + D₁·cos(θB - θE + π)
Où:
α est un coefficient d'atténuation (0 < α < 1), k₃ est une constante de couplage négative (-1 < k₃ < 0) et D₁ est une fonction d'interférence destructive.
Le déphasage de π garantit que les ondes sont en opposition de phase.

Catégorie 4
(Vague mortelle) :
Ħ₄(x,t) = B(x,t) - β·E(x,t) + k₄·B(x,t)·E(x,t) + D₂(x,t)·cos(θB - θE + π)·e^γt
Ou Ħ₄ = B - β·E + k₄·B·E+ D₂·cos(θB - θE + π)·e^γt
Où
β est un coefficient d'amplification des effets destructifs (β>1)k₄ est une constante de couplage fortement négative (k₄<-1 )
D₂ est une fonction destructive plus forte que D₁
γ est une constante d'amplification dépendant du temps
